Génération après génération, on ne se lasse pas de cette merveilleuse comédie musicale créée à Broadway en 1959, adaptée des mémoires de Maria Augusta Trapp, et immortalisée sur grand écran par Robert Wise avec Julie Andrews et Christopher Plummer dans les rôles principaux.
La compagnie Ars Lyrica remonte l’histoire pleine d’espoir de Maria, envoyée par son couvent, à la veille de la Seconde Guerre mondiale et alors que le nazisme s’empare de l’Autriche, comme gouvernante dans une famille, pour prendre soin des sept enfants du capitaine von Trapp.
Elle initiera l’attendrissante progéniture de ce veuf prônant une éducation stricte aux joies du chant et de la musique.Dans cette version moderne avec près de 35 chanteurs et musiciens sur scène, ce spectacle émerveillera toute la famille.
Chantons sous la pluie est sans doute la plus belle comédie musicale jamais produite. Un hymne à la joie de vivre et d’une grande drôlerie. L’histoire nous plonge en 1927. Don Lockwood et Lina Lamont, couple star du cinéma muet à Hollywood, volent de succès en succès et feignent de s’adorer autant à la ville qu’à l’écran. La réalité est plus sombre. Quand le premier film parlant sort, tous deux doivent s’accommoder et tournent leur premier film du genre. Si Don maitrise l’exercice, la voix désagréable et les zozotements de Lina menacent le duo.
Kathy, une jeune danseuse et chanteuse, lui offre donc discrètement sa voix. Jalouse, Lina est prête à tout pour empêcher Kathy de faire carrière et laisser croitre l’amour naissant entre Don et Kathy. Fleuron de la MGM (Metro Goldwyn Mayer), Chantons sous la pluie est une oeuvre d’une rare intelligence, un spectacle haut en couleurs, qui brille d’un équilibre inouï entre la comédie, la danse et le chant. Chorégraphies virevoltantes, mélodies enivrantes, claquettes.
En mettant en scène les métiers du cinéma, Singin’ In The Rain devient lui-même film mythique. Un paradis perdu dans lequel se blottir les jours de pluie. À travers les costumes, les décors, l’orchestre (sur scène), cette nouvelle production du PBA et d’Ars Lyrica sera l’occasion de se plonger dans l’Amérique des années 1920. Une dangereuse illusion qui broiera bien des destins mais… franchement, qui préfère la réalité à la fiction ?
Pink Floyd – THE WALL – l’Opéra Rock ! Bâtir un mur entre le public et le groupe : c’est en 1977 que Roger Waters imagina ce projet, blessé par l’attitude de certains fans ! Deux ans de préparation, huit mois d’enregistrement, une évolution totale du concept, aux limites de la schizophrénie… le 30 novembre 1979, Pink Floyd présente enfin l’album mythique d’un groupe au sommet de sa gloire.
Quarante années plus tard, l’opéra-rock n’a pas perdu une ride de sa modernité… de nouvelles éditions en rééditions, plus de trente millions d’albums ont été vendus dans le monde ! Le défi d’une nouvelle interprétation de l’œuvre est immense, mais les moyens et les talents réunis pour la circonstance sont à la hauteur de l’événement.
Réunis autour du prestigieux Floyd Revival Orchestra, les danseurs, chanteurs des compagnies Ars Lyrica – Talent d’Argile Ballet sous la direction du chorégraphe français Johan Nus présenteront en prélude à leur tournée française dans les plus beaux théâtres belges l’incroyable spectacle qu’est ce « Pink Floyd – The Wall – l’opéra-rock » !
La musique reproduite à l’identique, les projections originales, le décor particulièrement impressionnant, les chorégraphies… ce n’est pas simplement un concert, pas simplement un ballet, pas simplement un remake, c’est un spectacle total, un opéra-rock puissant, fort, inspiré, comme vous en avez certainement rarement vu.
Une merveilleuse partition, sophistiquée et déchirante!
En 1964, Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy et Michel Legrand triomphent en salle. Ils sont nominés à l’Oscar du meilleur film étranger, du meilleur scénario, de la meilleure chanson et de la meilleure bande originale. De plus, ils se voient décerner la Palme d’or au Festival de Cannes.
L’histoire se déroule sur la ville côtière de Cherbourg… en 1957. Madame Emery et sa fille Geneviève tiennent une boutique de parapluies. Guy, le mécanicien dont Géneviève est éperdument amoureuse, est appelé sous les drapeaux en Algérie et annonce son départ à sa douce. Ils se séparent et se promettent un amour éternel. Mais la jeune femme découvre bientôt qu’elle est enceinte et laisse sa mère la pousser dans les bras de Roland Cassard, négociant en pierres précieuses. Lorsque Guy rentre à Cherbourg, il y découvre le mariage de Geneviève, se rapproche de Madeleine qui veillait sur sa tante.
Grâce à son héritage, il ouvre sa propre station-service et devient père d’un petit François. C’est à cet endroit que, quelques années plus tard, Geneviève s’arrête un soir d’hiver et revoit Guy pour la première fois.
Pour ses 60 ans, le PBA accompagné d’Ars Lyrica (compagnie fidèle au PBA qui a déjà créé Le Violon sur le toit, La Mélodie du bonheur…) porte à la scène cette œuvre mythique en combinant un réel souci de modernité et un attachement sincère avec l’atmosphère et l’œuvre d’origine. Sous la direction de Patrick Leterme, le Candide Orchestra accompagnera une distribution de jeunes talents pour restituer le rêve et la gravité caractéristiques du cinéma de Jacques Demy.
Kathy, une jeune danseuse et chanteuse, lui offre donc discrètement sa voix. Jalouse, Lina est prête à tout pour empêcher Kathy de faire carrière et laisser croitre l’amour naissant entre Don et Kathy. Fleuron de la MGM (Metro Goldwyn Mayer), Chantons sous la pluie est une oeuvre d’une rare intelligence, un spectacle haut en couleurs, qui brille d’un équilibre inouï entre la comédie, la danse et le chant. Chorégraphies virevoltantes, mélodies enivrantes, claquettes.
En mettant en scène les métiers du cinéma, Singin’ In The Rain devient lui-même film mythique. Un paradis perdu dans lequel se blottir les jours de pluie. À travers les costumes, les décors, l’orchestre (sur scène), cette nouvelle production du PBA et d’Ars Lyrica sera l’occasion de se plonger dans l’Amérique des années 1920. Une dangereuse illusion qui broiera bien des destins mais… franchement, qui préfère la réalité à la fiction ?
Fiddler on the Roof est un musical basé sur le roman Tevye et ses filles de l’écrivain russe Sholem Aleichem. Sur un livret écrit par Joseph Stein, des paroles de Sheldon Harnick (She Loves Me), et des musiques composées par Jerry Bock (She Loves Me) l’œuvre est produite à Broadway en 1964 et remporte neuf Tony Awards, dont un pour Zero Mostel qui incarne le personnage de Tevye.
Dans la communauté juive d’Anatevka, le Violon sur le Toit raconte l’histoire de Tevye un pauvre crémier, sa femme Golde, et leurs trois filles qui se marient tour à tour à un pauvre tailleur, un révolutionnaire Bolchévik, et un jeune russe Chrétien, avant que la communauté ne soit chassée de son village par un pogrom. Une histoire riche en émotions, dans laquelle la famille et les relations humaines au sein d’une minorité sont au centre du sujet.
Fait assez rare : cinq ans seulement après sa production à Broadway, l’œuvre fut adaptée en français et jouée au Théâtre Marigny pendant plus d’un an. En 2005, une nouvelle adaptation réalisée par Stéphane Laporte se joue au Comédia et remporte le Molière du spectacle musical.
L’adaptation cinématographique est réalisée en 1971, et contribue à rendre encore plus populaires certaines chansons dont « If I were a rich man », et « Sunrise, Sunset », une chanson très fréquemment jouée lors des mariages aux Etats-Unis.
Une magnifique production francophone proposée par Ars Lyrica